Conservation du persil

J’ai testé et c’est efficace 😉

Il est frais mon persil, il est frais !

Je ne sais pas pour vous, mais moi j’adore le persil : sur les tomates, dans les salades, dans le potage, les légumes cuisinés… De plus il contient plein de vitamines A et C, ce qui ne gâte rien !

…Alors j’ai mis au point deux façons de le conserver pour pouvoir en profiter longtemps.

Frais :

Je détaille le persil en feuilles ou petits bouquets et l’enferme dans un bocal de verre bien fermé au frigo. Il se conserve ainsi 2 à 3 semaines sans aucun problème et ne perd pas son parfum. Il peut être utilisé frais dans les salades ou cuisiné.

Congelé :

Je détaille le persil de la même manière puis l’enferme dans un grand sac à congélation fermé par une pince spéciale sacs. Je peux ainsi rajouter du persil dans mon sac au fur et à mesure des récoltes ou en prélever la juste quantité nécessaire à ma cuisine. Je précise bien que le persil congelé ne peut plus être consommé sur les salades (car il est « cuit » par la congélation) mais cuit dans des préparations culinaires, la congélation lui conserve tout son goût.

Bon appétit ! »

Persil frit :

Choisir du persil frisé pour ce décor traditionnel de certaines présentations.

Ficeler un bouquet de persil lavé et bien essoré (il doit être sec), en laissant pendre un long bout de ficelle de ménage. Faire chauffer l’huile de friture et y tremper le bouquet en le tenant par la ficelle, pour éviter tout risque de brûlure. Dès que les feuilles de persil sont raidies, sortir le bouquet et le poser du papier absorbant. Couper les queues juste au-dessus de la ficelle.

Conservation du basilic

Voici deux propositions :

1. Laver et essorer parfaitement le bouquet de basilic. Le mixer avec de l’huile d’olive. Arrêter lorsque le basilic et l’huile forment une pâte. Remplir les petits cubes d’un moule à glaçons. Lorsque les cubes sont congelés, il suffit de les disposer dans un sac à congélation hermétique.

2. Faire comme un beurre d’escargot

Mixer avec le beurre et faire un rouleau. Le congeler dans un sac à congélation.

Sans décongeler, couper ensuite un morceau du rouleau.

C’est très bon dans les pâtes, la soupe et les fruits de mer !

Important : il ne faut pas l’introduire dans une préparation à cuire pour la parfumer : la chaleur lui fait perdre toute son essence aromatique.

Conservation du pain

LE PAIN BIO DES EPARIS

A l’abri de l’humidité, dans un endroit sec, avec assez d’air pour respirer. Vous pouvez laisser le pain dans le sac en papier et l’entourer dans un linge épais, en lin de préférence. Vous pouvez aussi le mettre dans le bas de votre réfrigérateur ou au congélateur.

Conservation des légumes

Voici un article que je trouve très intéressant mais vous pouvez y ajouter vos commentaires :

« De la conservation des légumes… la-ferme-du-hanneton

En vrac et sans queue ni tête, mais à toutes fins utiles :

Pour les épinards et salades, mâche, mesclun, le mieux est de les laver tout de suite et de les conserver ensuite au frais dans le moulin à salade au frigo, si celui ci tient dans le frigo ! Vous aurez ainsi des légumes très frais et croquants même plusieurs jours après.

Les «feuilles» en général fanent très vite : les bettes prennent de la place, donc ce n’est pas facile de les mettre comme précédemment au frigo, mais au frais à la cave ou dans le bac à légumes, sans laver, elles se conservent 3-4 jours.

Pour les racines : ne les lavez surtout pas et conservez-les avec leurs fanes pour celles qui en ont : à la cave, à défaut dans le bac à légumes.

Préférez toujours la cave au frigo (d’ailleurs sauf si vous avez toujours de la viande au frigo, le réglage au minimum de ce dernier est largement suffisant pour tout le reste et bien plus profitable aux légumes).

Les «fruits» ne se conservent pas au frigo ! (enfin, si, mais c’est moins bon). Si vous voulez la quintessence de la tomate, laissez-là dans le panier à fruits, en plus, c’est très joli. Vous pouvez mettre une cloche grillagée par dessus, contre les insectes. Si toutefois vous préférez le frigo, sortez les légumes plusieurs heures avant de les cuisiner surtout si vous les manger crus.

Les courges se conservent le mieux entre 15 et 20° dans un endroit aéré. Un panier dans la cuisine est du plus bel effet.

Les courgettes, poireaux à la cave (c’est vraiment dans n’importe quel ordre, aucun souci de la saisonnalité !).

Ainsi que les haricots et les petits-pois à condition de les étaler (sinon la condensation due à la «respiration» du tas les fait pourrir).

Oignons, ail, échalotes, dans un endroit sec.

Les choux à la cave. Attention, autant les choux pommés peuvent se conserver plusieurs semaines, voire plusieurs mois, autant les brocolis et choux fleurs doivent être consommés rapidement.

Les légumes petits se conservent moins longtemps que les gros. Vous aurez plus de mal à conserver des radis que des navets par exemple.

Pour tous, un endroit aéré est le mieux (c’est le rôle que remplit en fin de compte le moulin à salade dans le frigo). »

Recettes de cuisine

Un blog à découvrir…

« Que faire avec les fruits, légumes, salades et herbes aromatiques de mon panier ?

Un blog destiné à ceux et celles qui désirent favoriser une cuisine à base de produits frais de saison et de proximité, non traités, pour la santé par l’alimentation et le respect de l’environnement… avec une pointe d’exotisme ! Voici de quoi Estomaquer vos Papilles en restant simple, pratique et astucieux ! A vos Fourchettes !

De la Fourchette aux Papilles estomaquées

Made By TitAnick »

http://www.de-la-fourchette-aux-papilles-estomaquees.fr/

Petits pois et haricots verts

Il en existe quantité de variétés savoureuses

Pois gourmands ou mange-tout et pois croquants

Le pois gourmand est un légume frais dont on consomme les graines immatures (petits pois) avec les gousses, ce qui lui vaut aussi son appellation de Pois Mangetout. C’est grâce à l’absence de parchemin (fine pellicule rigide tapissant l’intérieur des valves de la gousse) qu’on peut le consommer dans sa totalité, et qu’on le distingue des variétés à écosser.

Les pois mange-tout occupent une place de choix dans le potager gourmand. On les mange intégralement, comme les pois croquants,leurs cousins aux gousses bien renflées.

Ces deux variétés sont très recherchées pour leur fraîcheur croquante. L’œil est le premier à se régaler de leur belle couleur vert clair. La cuisine légère comme la gastronomie moderne aiment les marier avec les meilleures pièces de viande et toutes sortes de poissons. Les pois mange-tout et les pois croquants sont aromatiques et sucrés. Leurs gousses restent longtemps tendres et sont souvent dépourvues de fils.

L’épluchage des pois mange-tout donne peu de déchets: il suffit de retirer les tiges et le cas échéant, les fils. On les cuit rapidement en les tenant croquants, afin de leur garder aussi leur belle couleur verte. Ces légumes fins sont si aromatiques qu’on les assaisonne à peine. Ils s’accordent bien, comme garniture ou salade, avec les plats d’été. La cuisine asiatique les apprécie aussi beaucoup, à cause de leur couleur et de leur texture à la fois tendre et croquante en bouche.

Petits pois : ronds comme des billes

Les petits pois vert vif sont de très anciens légumes remis au goût du jour par la cuisine moderne. Les enfants raffolent de ces petites billes vertes, surtout en compagnie de carottes. Cette version de la jardinière de légumes est un accompagnement succulent et coloré. Un autre grand classique est le Risi e Bisi italien, c’est-à-dire le riz aux petits pois. Les petits pois sont toujours un régal pour l’œil, pas seulement sous forme de petits grelots, mais aussi en purée et même en soupe. Sucrés et légèrement farineux, ils font merveille dans les quiches, gratins de nouilles, risotto et farces de légumes. Pour des petits pois frais, il y a toujours de la place dans l’assiette. Du plat principal aux salades raffinées, on trouve toujours un moyen de les intégrer dans le menu.

Haricots : palette de formes et de couleurs

A rame… ou nains !

Les haricots forment une grande famille.

les haricots à rame sont grands, mais néanmoins tendres et très aromatiques.

les haricots verts – qu’ils soient nains ou à rame – gagnent à être cuits avec de la sarriette. Agrémentés d’un peu d’huile d’olive, de basilic, d’ail, de poivre et de sel, ils font alors un délicieux légume d’accompagnement. Ils se marient aussi très bien avec la feta grecque.

les haricots beurre restent tendres lorsqu’ils contiennent déjà de gros grains, donc à un stade de maturité avancée. On les apprécie particulièrement en salade, froide ou tiède, et en fait volontiers des bocaux. La salade de haricots se prépare avec un vinaigre léger, des oignons coupés menu, du poivre et de l’huile d’olive.

On peut couper les plus grands en morceaux avant de les cuire ou de les étuver. On peut aussi les faire sauter avec d’autres légumes et des épices.

L’oignon

Le bulbe de l’oignon est un organe de réserves nutritives que la plante puise afin de fleurir. Il est formé par la base des feuilles qui, superposées, ont épaissi. Les dernières feuilles forment l’enveloppe la plus mince de l’oignon : la « tunique ». Dans le sol, la plante cesse d’émettre des feuilles et le bulbe se met à grossir : il s’agit de la tubérisation.

Si les oignons sont récoltés avant cette tubérisation, il s’agit de cébettes, s’ils sont arrachés juste après, ils se nommeront cèbes (leur petit bulbe sera allongé).

Les oignons blancs sont des primeurs, récoltés au cours de la tubérisation et avant leur complète maturité. Ces jeunes bulbes, très frais, ne se conservent que peu de temps.

La tubérisation achevée, les bulbes sont récoltés. Ces oignons « de garde » pourront se conserver plusieurs mois.

Ces oignons secs peuvent être de couleur blanche (tel l’oignon doux des Cévennes), rouge (ces bulbes sont surtout importés, d’Espagne et d’Italie) ou, plus communément, jaune.

Attention, les oignons secs se consomment cuits : crus ils peuvent être indigestes. Conservez-les dans un endroit sec et à l’abri de la lumière, sous peine de les voir germer ou moisir.

A savoir que l’oignon rouge se mange surtout cru, car cuit il est plus fade que les autres avec une saveur un peu sucrée.

Astuces : pour ne pas pleurer lorsqu’on épluche des oignons, il existe plusieurs trucs. A chacun d’essayer et de choisir :

– les tremper dans de l’eau chaude quelques instants avant de les peler

– procéder sous la hotte aspirante en fonctionnement

– ou bien les mains à l’intérieur d’une poche plastique, ou encore sous un filet d’eau froide.

Roquette

La roquette (Eruca sativa) est une plante annuelle de la famille des Brassicacées (ou Crucifères), à fleurs blanches ou jaunâtres veinées de brun ou de violet, dont les feuilles ressemblent à celles des radis et des navets, botaniquement très proches, et ont une saveur piquante et poivrée.

Le goût de la roquette est prononcé et la plupart des gens n’apprécient pas de la manger seule. En salade, on la combine avec d’autres ingrédients dont elle relève la saveur :

  • diverses verdures (laitue, chicorée, mâche, jeunes épinards, etc.) et des tomates
  • des concombres, des tomates, du poivron rouge, des oignons verts
  • du fenouil et des morceaux d’orange
  • de petites pâtes genre fusilli, des tomates cerises, du parmesan, des pignons et des olives
  • de la truite fumée, des haricots rouges, des coeurs d’artichaut et de la laitue
  • la salade de pommes de terre.

Les feuilles moins tendres peuvent être ajoutées aux soupes ou aux ragoûts. Au Portugal, on les fait bouillir et on les sert comme légume, avec un filet d’huile d’olive, en accompagnement d’une viande ou d’un poisson.

Une vinaigrette à l’huile d’olive vierge et au vinaigre de framboise lui convient à merveille.

On la sert également en garniture dans les sandwiches ou sur les pizzas.

Dans toutes sortes de soupes. Idéale, notamment, pour relever le goût de la soupe au poireau et à la pomme de terre.

En pesto. Passer au mélangeur des feuilles de roquette, des pignons (ou des noix), du parmesan et du jus de citron. Mélanger et ajouter de l’huile d’olive en filet jusqu’à l’obtention d’une sauce homogène. Servir sur des pâtes, un poisson blanc ou de la volaille.

Une recette : Pesto de roquette

Ingrédients :

  • Feuilles de roquette, graine de tournesol, potiron ou autres graines (pignon…), huile d’olive, ail
  • Laver la roquette, coupez-la grossièrement
  • Dans votre blender, mélanger les ingrédients et mixer (roquette, graine, ail et huile d’olive)
  • N’hésitez pas avec l’huile car il est nécessaire pour que le pesto soit onctueux
  • Mettre au frigo dans un pot en verre fermé, il peut tenir quelques mois mais après chaque utilisation vous devez rajouter de l’huile au-dessus (le pesto ne doit pas être à l’air libre et la couche d’huile permet la conservation jusqu’à six mois)

Choux

Les choux sont très différents entre eux.

  • le chou-rave, dont nous consommons la tige qui forme une boule
  • le chou-navet (rutabaga), dont nous consommons la racine
  • les choux fleurs et brocolis, dont nous consommons les fleurs
  • les autres choux, dont nous mangeons les feuilles crues ou cuites.

Idées recettes :

Ne craignez pas d’expérimenter en préparant le chou-rave.

■ En salade. Avec pommes, oranges, noix,

et une mayonnaise maison à la moutarde et aux herbes de Provence.

Ou, tout simplement râpé, avec des carottes.

■ En purée ou en frites, comme on le fait avec les pommes de terre.

■ Glacé, dans un mélange de bouillon, sucre et beurre,

assaisonné à l’estragon et au persil.

Bon appétit !

Astuces :

Pour cuire du chou sans qu’il communique son odeur à toute la maison, poser un ligne épais imbibé de vinaigre d’alcool sur le couvercle du récipient.

Cuisson du chou-fleur : le cuire à l’eau avec un croûton de pain rassis pour supprimer toute amertume.

Chou rouge : pour que le chou rouge en salade ne vire plus au lie-de-vin lorsqu’on l’assaissonne, l’arroser, une fois râpé, d’une cuillerée à soupe de vinaigre bien chaud et mélanger longuement avant de verser la sauce.

http://www.marmiton.org/pratique/techniques-culinaires-video-cuisine_farcir-des-feuilles-de-chou.aspx

Epinards: Velouté de pommes de terre épinards

Voici une recette que j’ai testée cette semaine et que j’ai appréciée

Ingrédients :

  • 300 g de pommes de terre
  • 180 g d’épinards frais lavés et séchés, poids net sans les tiges un peu grosses
  • 1 oignon pelé et ciselé
  • 1 gousse d’ail pelée et écrasée
  • 1 c. à soupe rase de curry doux
  • 1,5 litre de bouillon
  • 4 c. à soupe bombées de crème fraiche
  • 2 c. à soupe d’huile d’olive
  • Sel

Préparation :

  • Pelez les pommes de terre, lavez-les puis coupez-les en cubes.
  • Faites chauffer l’huile d’olive dans une cocotte.
  • Ajoutez l’oignon, l’ail et faites-les revenir sur feu doux pendant 5 minutes sur feu doux.
  • Ajoutez le curry et mélangez.
  • Ajoutez les cubes de pommes de terre, les épinards et recouvrez avec le bouillon chaud.
  • Portez à ébullition, couvrez et laissez mijoter pendant 25 minutes, jusqu’à ce que les épinards soient bien tendres et les pommes de terre cuites.
  • Mixez le contenu de la cocotte avec la crème.

Bon appétit, Viviane